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Pour cause de "Vacances'".. Toros 2000 sera fermé, du 25 Avril au 3
Mai, inclus...
Il en est qui ont de la chance! - Vous, peut-être... |
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BARCELONA : L'ERREUR… PREVISIBLE !
Une seule oreille… pour le Juli
21 Avril : Le danger était celui-là : « Avec un tel cartel… que sorte
une corrida « terciadita », faible ou sans fond ».
Le danger était que les toros ne permettent aucune
émotion…
Le danger était que les toreros ou leurs représentants
« imposent » leur ganado…
Le danger était que l’Empresa, pour satisfaire tout le
monde… se résolve à amener une corrida « de trop de garantie », en une
plaza de Barcelone qu’elle savait pleine à craquer.
Or, dans la situation où elle se trouve, Barcelone ne
peut être sauvée que par une chose : L’émotion ! Il n’y en eut pas, hier
et, malgré le « No hay billetes » et l’oreille coupée en dernière minute
par le Juli, le pari n’est pas gagné.
Certes Jose Tomas a rempli la plaza, et l’a « emplie »
de sa personnalité… mais la corrida, au final, est une déception. Et
Barcelone est loin d’être sauvée… La faute à qui ??? « A vouloir trop
garantir… on ne garantit plus rien du tout ! »
20 Avril – BARCELONA – « No hay billetes » - Temps
gris, avec pluie au premier toro : Lot « de la casa », composé de quatre
Garcigrande et Deux de Domingo Hernandez (5 et 6ème bis). Le
3ème a été remplacé ; se corrio turno et sortit le 6ème.
Enfin, en dernier, sortit le sobrero, le plus grand de la soirée… mais
qui donna le meilleur jeu. Pour le reste, présentation des plus moyennes
(muy terciado y flaco, le 2ème) et manque de race généralisé.
Jose Tomas toucha un lot qui s’arrêta, et Juli sut trouver les recours
pour inventer un toro. Dans ce duel, le Finito fut un simple « témoin ».
Finito de Cordoba : Silence et Sifflets – Ne se
compliqua point la vie, d'autant que son premier fut manso. Devant le
quatrième (peut-être le meilleur du jour) il fit quelque effort au
capote, puis en une bonne série droitière. Mais ensuite… cinq
descabellos, l’air dégoûté.
Jose Tomas : Ovation, après deux avis ; et
Ovation, après un avis – A rempli la plaza jusqu’au toit. Ensuite, le
résultat est plus mitigé : Face à un lot « sans race », qui
s’arrêta, Tomas fut long, réitérant un toreo certes « risqué », de très
près, toujours vaillant… mais souvent accroché et sans pouvoir lier. Il
reçut par véroniques « génuflexées » son faible premier, protesté par un
secteur de la plaza, et tenta longuement de le réveiller. Le cinquième
fut un manso, et la faena se transforma en un long arrimon. Pour le
reste, un bon quite par gaoneras, au quatrième, et de grosses
difficultés avec l’acier. Malgré ce, Jose Tomas eut l’appui constant du
public Catalan.
El Juli : Grande ovation et Une oreille – Sort
clairement vainqueur de ce duel, pour avoir su adapter son toreo aux
conditions de ses adversaires. Il inventa le troisième toro, lui tirant
une faena de grand mérite, hélas pinchée deux fois. Devant le dernier,
plus solide, plus « enracé », le Juli tira de bons muletazos, en
particulier sur main gauche, et termina « dans le berceau » lorsque le
toro s’arrêta. Comme il tua « fort », l’oreille tomba, fort justement,
récompensant ainsi le vainqueur d’un duel « un peu trop terne », à cause
d'un ganado... « de garantie! » Una lastima !
Voir la vidéo de la
corrida, dans Burladero.com (via dailymotion) :
http://www.dailymotion.com/video/x55f46_barcelona-20-de-abril_creation
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MADRID : VENT ET DESOLATION
Torres Jerez manque le coche
21 Avril : Dommage ! Une fois de plus, le vent et « le ciment vide » de
las Ventas ont eu raison de la volonté et du talent de jeunes toreros
qui « sont passés à travers », au milieu d’un silence de sépulcre.
Bien sûr, on sait que Madrid et sa plaza, les jours de
grand vent, ressemblent plus à la pointe de Bretagne qu’au « Sol y
moscas » qui devraient symboliser les « jours de toros ». De cela,
personne n’y peut goutte ! Mais encore une fois, l’aficion de Madrid,
cette « aficion de pitimini » qui va remplir la plaza durant un mois
entier, dans une grosse quinzaine de jours, s’est signalée… par son
manque d’aficion.
Oh bien sûr, vu les résultats, on dira qu’elle a eu
raison de rester à la maison… Pues no ! No tuvo razon !!!
Le cartel était des plus intéressants, même si l’on
pouvait penser que… Hélas, les trois diestros ont fait le paseo devant
une plaza aux trois quarts vide… Dans le ciel, « nubes y lluvia ! », et
ce sable qui vole, ces capotes qui se mettent « à l’horizontal », à
cause du vent… Maldita sea !!!
Le plus bête là-dedans, c’est que le même cartel, en
pleine San Isidro… aurait mis le « No hay billetes » en la plaza…
Anton Cortes n’a pu briller le moins du monde; Andres
Palacios a donné d’excellents détails, mais « sin rematar » ; et Torres
Jerez a connu noire tarde : Touchant un toro de grande transmission,
mais gêné par la tempête, il s’est un peu emmêlé les idées autant que
les crayons, ne pouvant dessiner « la » faena qui, peut-être, lui aurait
valu « d’autres paseos », à plaza llena…
Le torero sera bien triste, aujourd’hui. Qu’il se
console : « Autant en emporte le vent ! »
20 Avril –MADRID (Las Ventas) – ¼ de plaza – Vent et
pluie : Quatre toros de Julio de la Puerta et deux sobreros de El
Serrano (1 et 6èmes) – Corrida très bien présentée et armée, donnant peu
de jeu, excepté les 2ème, noble et surtout 3ème,
de grande « transmission ». Très protesté le 1er, pour sa
faiblesse. Le 5ème se mit une douloureuse vuelta de campana,
au capote.
Poids de la corrida : 555, 575, 517, 582, 520, 596 kgs.
Anton Cortes : Silence et Silence – Mal servi et
mal suivi par la plaza qui passa son temps à protester le premier et ne
tint pas compte du genio du quatrième. « No vienen… y
encima los que vienen lo hacen… pa fastidiar ! Jo!!!.
Andres Palacios: Silence et
Silence – Donna d’excellents détails de toreria, devant le noble
deuxième: Naturelles isolées, jolis remates… Mais rien de « compact ! ».
Tua très bien le cinquième, devant lequel il fut un peu longuet. A
revoir !
Francisco Torres Jerez : Silence et Silence –
Reçut très bien, au capote, un troisième, du nom de « Cortijero », qui
montra grande transmission au long de la lidia. Gêné par le vent, ne se
mettant pas « de verdad », à fond, devant l’animal, l’Almeriense ne
réussit pas à dominer son sujet, se faisant balader vainement. Occasion
perdue. Devant le colorado sixième, arrêté, ses efforts furent vains.
Vidéo
de la corrida, dans Las Ventas.com:
http://asp.las-ventas.com/noticias/video.asp?fecha=20080420&tipo=festejo
La fiche de
la corrida, dans Las Ventas.com:
http://asp.las-ventas.com/noticias/noticia_detalle.asp?codigo=1622&codigo_seccion=7
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GARLIN : MAYALDE, AU PAYS DU PINAR…
22 Avril : Una lastima ! Le cartel, en Espagnol dit « si
el tiempo no lo impide ! » - (Si la météo ne l’empêche pas!).
De fait, dimanche dernier… « el tiempo no lo impidio »,
mais ce fut juste! Les nuages bas, les gouttes qui se disent «
alors, on y va ? » Bref! Sale temps sur le Sud Ouest ! Mauvais présage
sur Garlin. Et comme l’Académie n’est pas très aficionada… me lo perdi!
Le soir, bien sûr, le téléphone a sonné : « Tu as
manqué un joli truc ! »
Tout en maudissant les toubibs, je me réjouissais pour
les gens de Garlin, leur Aficion et leur envie de plaire. Et puis j’ai
vu les images (vous avez, d’ailleurs, une partie de la novillada sur le
site voisin de l’Echo du Callejon). Et, vu ce que je vois… Vu ce que
l’on m’a dit al telefono, on peut penser que le Sud Ouest est vraiment
le pays du Pinar. Pardon ! Le pays de Ruben Pinar !!!
Certes le garçon mène, à l’escalafon des novilleros!
Certes il « explosa » littéralement, un matin de septembre 2006, à Dax !
Certes il conquit tout le monde, en 2007, dans les ruedos Aquitains…
Certes il vient de couper une oreille, à Madrid, au terme d’une
actuacion très « solide »… Mais justement pour ces raisons-là, il
devrait afficher plus d’assurance, de dominio et de « reposé », lorsque
lui sort un toro de qualité, tel que le premier Mayalde de Garlin.
Bien sûr, les passes liées en boucle, les pechos, les
remates furent de grand effet sur un public qui ne demandait que cela,
mais pour autant, le torero ne domina que rarement, se faisant souvent
prendre de vitesse, étant de ce fait obligé de tirer sur de grosses
ficelles comme l’usage « du pico » ou le fait « d’echar fuera » le
charge allègre du fameux « Buzonero », sans parler des adornos « sur le
voyage »... Certes le toro ne fut pas, lui-même, exempt de tout
reproche, mais il répéta et répéta à loisir une charge noble, qui
méritait meilleur traitement…
Comment alors s’étonner que Pinar ait manqué son
final.. « si no lo domino casi nunca ! » La faena ne
résiste pas au vidéo… Cependant, à l’époque où l’on doit souvent
« péguer un muletazo, se replacer, toquer, se recroiser, retoquer, tirer
la deuxième passe, se « re recroiser »..., comment s’étonner d’un tel
enthousiasme, lorsque sort un toro ou un novillo, plein de noble
mobilité...
Et de toute façon, je n’y étais pas ! Alors, motus… ou
presque !
En tout cas, le fameux Conde de Mayalde vient encore de marquer un bon
point majuscule… en terre du Pinar!
Après Tyrosse 2006, qui nous le révéla… Après Dax 2007,
qui nous le confirma, la ganaderia Tolédane, menée par cette remarquable
personne qu’est Rafael Finat, « Conde de Mayalde », a donné un nouvel
exemple du toro… que l’on souhaite, vu la tauromachie actuelle : « Presencia,
alegria, codicia, bravura, nobleza, mobilidad, duracion… » ou « Un toro,
con caja y motor ! » Avec la carrosserie et le moteur. Un toro brave,
qui bouge et qui dure !
Pas à dire, le croisement Domecq (par Ventorrillo) et
Contreras porte de beaux fruits… « Pourvou qué sa doure ! »
Décidément, Garlin « es de enhorabuena ! » et reste bien dans sa ligne
du novillo « présenté » et qui donne du jeu… Dimanche, malgré la pluie
fine, la novillada s’est terminée sur la sortie a hombros du Mayoral, en
compagnie du favori.
Oui, Dimanche, Mayalde a triomphé… « au pays du Pinar »
20 Avril – GARLIN – Novillada – ¾ de plaza – Temps
menaçant, avec un peu de pluie fine, en fin du spectacle : Six novillos
du Conde de Mayalde, superbes de présence, les quatre premiers, qui, à
part les deux derniers, donnèrent bon jeu. Le premier, du nom de « Buzonero »
montra une noble et brave alegria dans les trois tiers, et fut honoré de
la vuelta posthume. Les trois premiers montrèrent de la qualité, à
degrés divers. Le 4ème, costaud, resta « a media altura », tandis que
les deux derniers s’avérèrent plus compliqués.
En fin de novillada, le Mayoral du conde de Mayalde
sortit a hombros, en compagnie du triomphateur du jour.
Ruben Pinar : Ovation et Deux oreilles – Se
montra brillant, mettant point d’honneur à vouloir lier sur place ses
muletazos, devant le fameux « Buzonero » premier. Cependant, la noble
mobilité du bicho l’obligea souvent à rompre ; mettre trop de pico,
parfois ; et toréer en ligne, jetant trop souvent le toro « fuera ».
Cependant, la faena, très abondante et allègre, fit gros effet (plus sur
le public que le toro), le garçon se trouvant parfois « au bord » de la
rupture. Cependant, très isolés, de forts jolis muletazos, comme une
naturelle très longue et limpia, qui fut le symbole de « ce qui aurait
pu être ». Ce manque de total dominio se concrétisa par trois échecs,
épée en main, avant une entière, basse. Vuelta au toro, tandis que le
diestro ne pouvait que saluer grande ovation.
Devant le quatrième, moins évident, sa faena alla « a
mas », et le public récompensa le final, notamment marqué par deux
longues « inversées » et une épée décidée, entière.. mais basse. Deux
oreilles pour « l’ensemble de son œuvre », à un Ruben Pinar, « dans son
jardin d'Aquitaine ».
Jose Carlos Venegas : Ovation et Silence, après
chaque fois un avis – Se montra plein de volonté, réalisant de jolis
gestes, mais sans réel dominio, notamment devant le deuxième de la
tarde, qui le menaça durement. Il tua mal ce toro, tandis que le
puntillero relèvera le cinquième, le plus compliqué du lot.
Santiago Naranjo : Ovation et Silence, après un
avis chaque fois – Se montra encore vert, en telle occasion. Vibrant au
capote et aux banderilles, volontaire en tout, il se fit un peu manger à
la muleta, en particulier par son premier, et tua en catastrophe (6
pinchazos). Le sixième, trop piqué, devint tardo, et le jeune Colombien
« paso fatigas ». C’est le métier qui entre. |
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FERIA
DE BEZIERS 2008
Jeudi 14 Août :
Toros del Pilar, pour El Juli, Jose Maria Manzanares et
Miguel Angel Perera
Vendredi 15 Août au matin: Novillada non piquée.
Vendredi 15 Août :
Toros de Marques de Domecq, pour Enrique Ponce,
Sébastien Castella et Alejandro Talavante.
Samedi 16 Août, au matin : Novillada non piquée.
Samedi 16 Août - Corrida Mixte :
Deux toros de Terron, pour Diego Ventura, et
quatre de Valdefresno, pour El Fandi et Cesar Jimenez
Dimanche 17 Août au matin - Novillada piquée :
Novillos de Margé, pour Camille Juan, Miguel Angel
Delgado et Roman Perez.
Dimanche 17 Août:
Toros de Miura, pour el Fundi, Juan Jose Padilla et
Javier Valverde |
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L’ARGENT DES TOREROS !
23 Avril : Je roule… et je râle ! Je râle… et je roule !
Bayonne… son cadre, sa douceur de vivre, ses traditions
taurines et autres... Bayonne et… ses embouteillages !
Vaya una mierda, por Dios ! Bayonne, outre le fait de
se prendre pour la première en tout, y compris les toros, aurait elle
décidé, tel vieux crapaud des dehesas de Zahariche, qui veut se faire
plus gros que le plus grand des Miuras… de faire la pige aux grandes
« métropoles », dont Paris est la première… pour ce qui est des
embouteillages ?
Vingt minutes, de la mairie au pont Grenet ! La
sentinelle de la Sous Préfecture, bien planquée dans sa casemate, me
considère d’un air goguenard. Elle qui est témoin de tant de
manifestations, se demande que peut donc maugréer ce quidam, au volant
de son coche, en le foudroyant du regard ?
- La réponse est simple : La même chose que
marmonnaient les dizaines et les dizaines de chauffeurs qui me
précédaient…
Je roule, sur place, et je râle !!! Peut-être un peu plus que les
autres… parce que je suis « comme ça ! », et surtout parce qu’au même
moment, à la radio, j’apprends qu’en pleine débandade dont ils sont à
quatre vingt pour cent les responsables, les joueurs du PSG réclament
une prime « pour le maintien », à quatre matchs de la descente en
deuxième division…
« Vaya cara ! Vaya sinverguenzas ! Vaya unos
verdaderos… cabrones !!! »
Décidément, Paris et son club de milliardaires ont ce
qu’ils méritent: Des joueurs « sans le moindre scrupule… », des
dirigeants « sans la moindre poigne », et des supporters dont une partie
sont de vrais voyous, et une minorité restée libre… d’authentiques
salauds. Qui oserait dire le contraire ?
« Une prime pour le maintien !!! Et pis quoi encore? »
(Moi, je commencerais par diviser tous les salaires par deux (au moins),
contrat ou pas contrat…) Quand on pense que le salaire mensuel d’un
Pauleta équivaut au budget annuel de la petite équipe de Carquefou…
laquelle a tenu la dragée haute à ces « professionnels », soixante-dix
minutes durant, l’autre jour, en Coupe de France, on se dit que « algo
no va ! », que « quelque chose est pourri », dans le Royaume délabré
d’une France en capilotade… Certes Pauleta est un grand joueur, et
probablement celui qui a vraiment « le sens du maillot »… mais,
señores !!!
Peut-être les joueurs devraient-ils apprendre ce que
veut dire le mot « Pudeur »… surtout après leur démonstration de
professionnalisme et de « verguenza deportiva », l'autre jour, devant
Caen…
Mais je râle, je bougonne… et l’on n’avance pas ! Bloqué je suis! -
comme dirait le Basque - devant la rutilante Peña Taurine Côte Basque !
Magnifique réalisation ! Magnifique ambiance ! « Les
corridas de Séville…una gozada, con tapas y clarete ! »
Bon, à ce souvenir, je me calme, l’espace de
deux minutes, et du coup… reviens aux toros !
Et dire que l’on reproche aux toreros l’argent qu’ils
demandent. On hurlait quand Juli demandait « 60 patates » par corrida.
On blasphème lorsque Jose Tomas double ou triple la mise, pour daigner
faire le paseo… Mais au fond, il est vrai « qu’il se la joue », à sa
manière, certes bien plus spectaculaire qu’un jeunot « qui met la jambe…
et qui la laisse ! », mais... il se la joue!!. C’est « cette émotion
là », perceptible de tous, même des antis, que vend Jose Tomas…
Alors on dira : « Jose Tomas… pas mieux que le Psg et
sa prime « pour le maintien »…
- Bon ! D’accord ! Au vu de son programme 2008, on peut
discuter. Mais il y a « une différence », une seule, une « toute
petite », et elle est la suivante : Le joueurs du PSG sont assurés de
revenir à l’hôtel, après le match… Un torero, jamais ! Et Jose Tomas,
peut-être moins encore !
Cela dit, « comme eux… il exagère ! » Cependant, tant
qu’il trouvera des « braves gens » pour payer… pueee !
Dans son blog, « Toros del Sur », Juan Ortega révèle aujourd’hui « le
calendrier » des contrats 2008 Jose Tomas. Outre les corridas déjà
toréées de Castellon, Valencia, Malaga et Barcelone, outre la corrida de
samedi 26, en Feria d’Aguascalientes, Jose Tomas serait engagé sur les
plazas suivantes, durant cette temporada :
3 Mai: Jerez de la Frontera
8 Mai: Nîmes (sa seule sortie Française)
24 Mai; Feria de Granada 28 Mai: Cordoba
5 et 15 Juin: Madrid (Las Ventas)
20 Juin: Alicante 23 Juin: Badajoz
28 Juin: Feria d’Algeciras.
2 ou plus probablement 5 Juillet: Burgos
24 Juillet: Santander
2 Août: Pontevedra
10 Août: Puerto de Santa María (peut-être en mano a
mano avec Morante)
12 Août: Gijon
14 Août: San Sebastian
20 Août: Malaga
24 Août: Cuenca
26 Août: Almería
29 Août: Linares
11 Septembre: Valladolid
16 Septembre: Salamanca
19 Septembre: Murcia
21 Septembre: Barcelona.
On notera donc qu’à part « l’effort » de Madrid, et à un degré moindre,
« Valencia en Fallas », Jose Tomas « évite » soigneusement Sevilla,
Pamplona, Bilbao, Logroño, Zaragoza et… toutes les plazas de France,
notamment dans le Sud Ouest.
On notera de même ses « grandes vacances », du 5 au 24
Juillet, au moment où tout le monde commence « à courir »… Le moins
qu’on puisse dire, c’est que cette saison, encore une fois, est celle
d’une « Figura par intermittence », ne souffrant aucune comparaison avec
celles des Ordoñez ou Camino, lorsqu’ils décidaient de commencer « en
Juin », évitant ainsi les deus « principales » qu’étaient Séville et
Madrid. Seulement, après, on les voyait partout, de Pamplona à Mont de
Marsan, de Bilbao à Bayonne, d’Arles au Pilar de Zaragoza.
« Esos si, eran… Figurones del Toreo ! »
Mais il est d’autres questions qui se posent : Combien
demande Jose Tomas à Madrid ? Des chiffres circulent, faramineux…
Autre question, liée à la précédente: Demande t’il la
même somme, partout » ?.
- Bien entendu non ! Si l’on excepte les « packages »,
avec Simon Casas (Nîmes, Alicante, Malaga…) ou encore avec les Lozano,
on peut penser que pour un paseo en plaza de Gijon ou de Cuenca, Jose
Tomas met, on l’espère, « un peu de douceur dans sa pédale !!! »
Mais alors, comment se fait il que la Casa Chopera, qui
l’embauche (en gros cdd) à San Sébastien et Almeria (même si elle fait
chou blanc pour Bilbao et Logroño), n’arrive pas à « négocier » pour
Mont de Marsan et Bayonne ?
Question subsidiaire : Si elles étaient
« indépendantes », ces deux plazas du Sud-Ouest Français seraient elles
incapables de « se hisser » au niveau d’un Gijon ou d’un Cuenca ?
Certes, on peut imaginer que le toro y est « tout
autre » quant au trapio…mais la répercussion d’un triomphe dans ces
ferias l’est tout autant… Et ça aussi, c’est de l’argent !
Pendant ce temps de « hautes » considérations sur « le pouvoir d’achat »
des Aficionados et des amateurs de football, on vient « enfin » de
passer le Pont Grenet !!!
Vingt minutes de la Mairie au pont… Moins d’un
kilomètre ! Je vais être en retard ! Mais on m’a
dit « qu’ils s’en foutent !! Ils savent !! Ils acceptent !!!»
Décidément… la ponctualité « ça eut payé! »...
Mais aujourd’hui, « même cela ».. ça paye plus!!! |
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MIGUEL ANGEL PERERA OUVRE SON SITE
24 Avril – Simple, discret, le site internet que vient d’ouvrir Miguel
Angel Perera, lui ressemble. Pourtant, il est complet, donnant grande
priorité à l’image, à la statistique, avec tout le parcours du torero,
course par course (avec reseña et souvent, photos), depuis 2002. Un site
des plus agréables, sobre et bien fait, qui entre dans la grande famille
de « l’Internet Torero »
Enhorabuena à Miguel Angel Perera, et… bienvenido !
Pour visiter le site de Miguel Angel Perera :
http://www.miguelangelperera.es/ |
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« PIEL DE TORO »
L’Encyclopédie Taurine en vidéo, de « BURLADERO.COM »
« 2 de abril… enadelante ! » Depuis le 2 avril, le site Burladero.com
diffuse en plusieurs chapitres, une approche minutieuse du monde du Toro…
et du Toreo. Dans ses moindres recoins… voyage dans un monde que
certains condamnent sans connaître.
Le grand reportage « Piel de Toro » étant à disposition
de tous dans Daylimotion, il n’y a donc pas d’inconvénient à faire ici,
un lien direct avec le magnifique travail de Burladero.com.
Enhorabuena a ellos !
« En cuanto a nosotros… a disfrutarlo ! »
Chapitre 1 :
Présentation :
http://www.dailymotion.com/video/x4xffl_piel-de-toro-capitulo-1-presentacio_creation
Chapitre 2 : Le Veedor :
http://www.dailymotion.com/video/x4xncy_piel-de-toro-capitulo-2-el-veedor_creation
Chapitre 3 : La colocacion en la plaza :
http://www.dailymotion.com/video/x4y0o2_piel-de-toro-capitulo-3-la-colocaci_creation
Chapitre 4 : Blessure, “convalo”, reprise d'épée…
http://www.dailymotion.com/video/x50z5m_piel-de-toro-capitulo-4-recuperacio_creation
Chapitre 5 : L’apprentissage...
http://www.dailymotion.com/video/x52yvh_piel-de-toro-capitulo-5-la-formacio_creation
Chapitre 6 : El Herradero – le “marquage” des toros:
http://www.dailymotion.com/video/x533ws_piel-de-toro-capitulo-6-el-herrader_creation
Chapitre 7 : La tienta de machos :
http://www.dailymotion.com/video/x53kxr_piel-de-toro-capitulo-7-tentadero-d_creation
Chapitre 8 : Histoire des Coquilla
http://www.dailymotion.com/relevance/search/toros/video/x563w9_piel-de-toro-capitulo-8-la-historia_creation
Chapitre 9 : Les origines de la corrida
http://www.dailymotion.com/video/x56zre_piel-de-toro-capitulo-9-los-origene_creation
Voir Burladero.com, dans nos liens perpétuels:
www.burladero.com
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TOROS
ET…TELEVISIONS DU SUD
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« TENDIDO SUD »
Chaque
semaine désormais, regardez « Tendido Sud », programme taurin présenté
par Christophe Chay, sur « Télé Miroir »
Pour suivre le programme, N°84, du 26 Mars: : Spécial
Feria d'Arles - Les meilleurs moments 2008
A
voir, en passant par Télé Miroir : www.telemiroir.com. |
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